Tu es tombé sur ce bon vieux test de pureté sur Internet et tu te demandes si ça vaut encore le coup ? Ou pire : tu songes à le refaire après quelques années ? Spoiler alert : tu risques d’être surpris. Dans cet article, je te raconte ce que m’a appris mon grand retour sur ce test culte, dix ans après l’avoir découvert dans une soirée un peu trop arrosée.
Le test de pureté, c’est quoi déjà ?
Petit rappel pour les non-initiés ou les nostalgiques à mémoire sélective : le test de pureté est un questionnaire souvent humoristique (et parfois douteux), qui te donne un score censé refléter à quel point tu es « pur » ou « expérimenté » dans la vie. Relations, soirées, alcool, sexe, illégalités plus ou moins discutables… rien n’y échappe. Le plus connu en France : le test de pureté Griffor.
À l’époque, on y jouait surtout pour rigoler entre potes, ou pour impressionner la personne qu’on tentait de séduire avec notre score (spoiler : ça ne marchait jamais).
Flashback : moi, à 20 ans, score 91/100 (récit d’un utilisateur anonyme)
Il y a 10 ans, j’étais étudiant. Je croyais tout savoir sur la vie avec mes 3 bières par mois, mes premières amours hésitantes, et mon sens de l’humour douteux. On avait découvert le test de pureté en coloc, un soir de pluie et de tisanes (oui oui).
Score final : 91 sur 100.
« Très pur », disait le résultat. Trop, même. Certains potes en avaient ri. D’autres m’avaient dit “non mais t’inquiète, c’est bien aussi, la pureté”. Moi ? J’avais souri, en pensant que ce chiffre allait forcément baisser avec le temps. Spoiler : il a baissé.
10 ans plus tard : une descente en pureté tout à fait maîtrisée
Aujourd’hui, j’ai 30 ans. Un boulot stable, des amours parfois instables, une meilleure cave à vin… et surtout, beaucoup plus de vécu.
J’ai retrouvé ce test un peu par hasard. Curiosité, nostalgie, envie de voir où j’en suis. Résultat du test 2025 : score 61/100.
40 points de perdus, donc.
Mais est-ce une perte ? Pas vraiment. Voici ce que j’ai découvert :
Ce que m’a appris ce re-test improbable
1. Le test a changé (heureusement)
Certaines versions récentes sont plus responsables, moins stigmatisantes, notamment sur les questions sensibles. Et c’est tant mieux. D’autres, malheureusement, gardent des formulations dépassées, voire problématiques. Moralité : choisis bien ta version.
2. Ce n’est pas un test de moralité
Un score bas ne veut pas dire que tu es « impur », un score haut ne fait pas de toi une sainte-nitouche. C’est juste un reflet d’expériences, sans jugement. Ce test devient intéressant quand on le lit comme une auto-réflexion, pas comme un classement.
3. Il révèle plus sur ta perception que sur tes actes
Certains items m’ont fait rire (« As-tu déjà embrassé quelqu’un en étant suspendu à un trapèze ? »), d’autres m’ont fait réfléchir. Ce qui est tabou ou cool à 20 ans ne l’est plus forcément à 30. Et vice-versa. Ton regard sur la vie évolue, et c’est ça qui est fascinant.
Faut-il le refaire aussi ?
Oui… mais pour les bonnes raisons.
Si tu veux rigoler entre amis, c’est parfait.
Si tu veux faire le point sur ton évolution, c’est surprenant.
Mais ne le prends pas trop au sérieux. Ce test ne mesure pas ta valeur, ton bonheur, ni ton intelligence. Il mesure juste… ton parcours, avec humour et parfois un peu de maladresse.
En résumé : ce que tu vas retirer de cet article
- Un retour d’expérience fun et décomplexé sur le test de pureté.
- Une mise à jour sur ce qu’il vaut en 2025.
- Des pistes pour le (re)faire sans se juger ni juger les autres.
- Une bonne dose d’autodérision – parce que c’est la seule vraie pureté qu’on garde en vieillissant.
Et toi, tu oserais le refaire ?
Allez, avoue. Tu as déjà ouvert un onglet en scred, prêt·e à cliquer. Que tu sois à 99 ou à 19, l’essentiel, c’est ce que tu en fais. Et si tu le fais… reviens me dire ton score. Promis, je juge pas (trop).